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qu’il m’était impossible d’y résister.
Après que cette passion m’eut agité pendant deux heures et plus,
avec une telle violence que mon sang bouillonn... et que mon pouls
battait comme si la ferveur extraordinaire de mes désirs m’eût donné
la fièvre, la nature fatiguée, épuisée, me jeta dans un profond
Source : Aventures surprenantes de Robinson Crusoé
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