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J’avais un large ceinturon de peau de chèvre desséchée, qui
s’attachait avec deux courroies au lieu de boucles; en guise d’épée et
de dague j’y appendais d’un côté une petite (?) et de l’autre côté
une hache. J’avais en outre un baudrier qui s’attachait de la même
manière et passait par-dessus mon épaule. A son extrémité, sous mon
Source : Aventures surprenantes de Robinson Crusoé
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